jeudi 31 mars 2016

Vive les mariés



Sortie du 20 mars, levé du jour


Vu quelques cerfs, mais j’avais été trop bruyant et je les ai fait fuir.


la couchette d'un cerf, mais pas de mue.


La Scilla Bifolia


Primevère


L’envol d’une buse


Un débardeur pollueur, sans scrupule !


Un terrier fraichement creusé


A votre imagination


Premier œufs de grenouilles


Des chevreuils


Et pour terminer, pas de mue, mais une carte de faire part de mariage.


Toutes nos félicitations, et longue vie aux mariés, Christelle et Jocef du 57 qui se sont uni le 15 septembre 2015

Leur carte à parcourue près de 100 km, avant de tomber en pleine forêt


mercredi 30 mars 2016

L’avantage du rucher fermé



Le 14 mars 2016, j’avais fait une observation de mauvais augure au rucher,  j’avais découvert un mâle.

Ce qui en début de saison n’est pas normal, ce qui signifie que dans le rucher, il y a une ruche orpheline ou une reine bourdonneuse. Dès les premiers beaux jours, il faudra trouver cette ruche et intervenir rapidement, et la sauvée d’une mort certaine.

Dimanche le 20 mars 2016, c’était le printemps, mais uniquement sur le calendrier, puisqu’à l’extérieur la température n’avait pas dépassé les 14° et un vent glacial du nord, empêchant toutes ouvertures des ruches.

Les abeilles volaient un peu


Rapportaient tant bien que mal quelques pelotes de pollen


Mais dans le rucher il y avait 1 à 2° de plus et pas de vent, ce qui m'a permis d’effectuer la première visite 2016 moins de deux minutes par ruche, mais seulement sur un tiers du rucher, le temps était trop court pour tous faire.

Pour l’instant, les ruches ouvertes sont plus que correctes, elles sont très fortes rien à avoir avec 2015, elles ont même commencé à grignoter les coussinets par manque de place.


Les premières cires gaufrées ont été introduites, entre 2 à 3 cadres par ruche, les provisions sont excédentaires, ce qui est assez étonnant pour cet hiver doux, je m’attendais à une surconsommation, tant mieux.


Je n’avais pas trouvé la ruche bourdonneuse, mais une ruche fraichement orpheline, les abeilles avaient élevé des cellules royales.


La température étant trop fraiche pour secouer les abeilles à l’extérieur, j’ai donc laissé tel quel, mais supprimé les cellules royales.

Puis, comme j’avais hiverné 4 petits nucléus, et que leur habitat sera bientôt trop petit, j’en ai pris un que j’ai mis dans la hausse.

La hausse a été séparée du corps de ruche par une feuille de papier journal, ce qui permettra de réunir les deux colonies en douceur, et dans huit jours, le nucléus sera rassemblé dans le corps de ruche pour former une nouvelle colonie.

mardi 29 mars 2016

Quand la passion et plus forte que la raison.



Le 12 mars, le petit sanglier à trois pattes était toujours au même point d’agrainage, et ce jour là il devait avoir une faim de loup, puisqu’il n’est pas parti en me voyant.

Grive musicienne


Petit champignon


Une belle Scilla Bifolia


Racine suspendu


Les restes d’un ballon météorologique


Encore un petit groupe de trois sangliers, mais où sont passés les cerfs ?


Les malheurs de la vie font qu’à cette journée du 12 mars, je me suis malheureusement légèrement foulé le genou ! J’ai glissé sur un talus, mon pied gauche et resté coincé, j’ai fais un quart de tour sur le genou, et voilà le ligament latéral interne étiré, une répétition  de 2011 ?  

Ce qui m’avait cloué à la maison le 13 mars.

Mais le 14 mars, quand la passion et plus forte que la raison, malgré la douleur, j’avais fait un petit tour en forêt, ce n’était pas les 15-27km comme les jours précédents, mais un petit 6 km en toute une matinée.

Mais cela a suffit à trouver une mue, un petit 10 corps



Fraichement tombée de cette nuit, au regard de la couleur du sang sur la meule.
 


Le 15 mars, reprise du boulot, j’ai une semaine pour ménager mon genou, mais avec le taf que j’ai ça va être difficile.

Je ne me fais donc pas d’illusions, les prochaines semaines seront dures, et les sorties du week-end réduites en km.

A cause de pas de chance.

lundi 28 mars 2016

Sangliers du 11 mars 2016



Un grand soleil rouge du matin


Et déjà les premiers sangliers


Tous les ans, c’est le même constat, l’espace naturel n’est plus respecté.

Les cannettes de bières sont désormais plus faciles à trouver en forêt qu’une mue, le pire c’est que vous ne les trouvez plus seulement en bordures de chemin, mais autant en plein cœur de la forêt, et chaque année ils s’en rajoutent !


Pire encore (si on peut dire, puisque en forêt ça en est déjà assez) vous trouvez des cannettes en verre en plein prés, imaginez la ramasseuse-presse ramasser et broyer ses bouteilles, quelle sera l’effet sur le bétail en ingurgitant ces débris dans le foin ?

Je n'arrive pas à comprendre qu'on puisse jeter ces déchets aussi facilement sans scrupule ? Il faudra un jour m’expliquer, comment peut-on jeter sans ce soucier des conséquences d’un tel geste ? Il y a truc qui m’échappe !

Ce pollueur, c’est sûrement donné bonne conscience en dissimulant ses déchets, pour information ces trois pack sont remplit d’une vingtaine de bouteilles chacune, elle n’est pas belle la vie ?


Parfois, il a des déchets en bon état, qui auraient leur place dans les brocantes ou chez l’antiquaire.


Allez revenons aux belles choses de notre forêt, un chevreuil au loin.



Les champignons


L’oxydation du bois, rouge sang


Un esprit caché sous une souche ! S’il pouvait donner une leçon aux pollueurs !

Je vous rassure, ce n’était pas un esprit, mais la formation de champignons en mousse blanche.

Et pour terminer, une petite colonie de sept sangliers


Celui-ci semblait aveugle de l’œil droit

Ils ne m’avaient pas remarqué