mercredi 26 avril 2017

Premier bois de cerf 2017

Actuellement l’apiculture est au stand-by, il fait froid, avec des nuits entre -2 et 0° et une nuit dévastatrice à moins 5° ! Tous les fruitiers et noyers ont gelées, anéantissant en une nuit la belle floraison et l’espoir de récolter des fruits cette été.
Pour patienter, quelques  images de mes sorties printanières.
Ce matin du 27 février 2017, j’apercevais des cerfs derrière les troncs d’arbres

Mais un des cerfs me repère, on s’observe, rien d’anormal jusqu'à là, sauf qu’en regardant mieux, je remarque qu’il lui manque le bois droit ! Mais je ne vois pas l’autre bois à cause des branches, l’avait-il aussi perdu ?

A force de les observer, je les avais dérangé, ils se sont mis à bouger, c’est à cette instant que j’ai aperçu le deuxième bois sur la tête.

A cet instant, un espoir de trouver un bois de cerf me fit monter l’adrénaline, mais par précaution je n’étais pas aller voir de suite, puisque les cerfs n’avaient bougé que de quelques mètres.
J’avais donc pris la décision de quitter les lieux discrètement sans les déranger plus, la forêt est grande, je connaissais encore d’autres lieux à prospecter.
Notre belle forêt

A peine arrivée, deux jeunes six cors


Un couple de chevreuil

D'autres chevreuils


Encore des jeunes cerfs.

Une découverte insolite, un jaguar serait-il passé par là ?

Un renard en chasse

Trois heures et demie se sont écoulés depuis l’aperçu du cerf avec qu’un seul bois, j’étais donc retourné voir s’il m’avait laissé un cadeau.
Mais malheureusement, déception, il y avait plusieurs couches (trace au sol quand ils étaient couchés), ils devaient être entre 5 et 7 cerfs, d’après les traces, ils étaient couchés toute la nuit sur place, et pas une seule mue.
D'un côté c’est normal, la saison de la perte des mues n’avait pas encore démarrée, peut-être un cerf mono-bois ?
Je tourne encore quelques mètres autour de l’endroit ou ils étaient stationnés, puis je prenais la direction de leur déplacement.
Et à 100 m de leur point de repos, une forme au sol me fit sursauter !

Ça a payé de ne pas les déranger, le bois gauche était là à m’attendre

Ce n’est pas un monstre, mais ça fait toujours plaisir de trouver une mue de cerf.

Le sang sur la meule témoigne de la tombée récente.

Si j’ai pris la mauvaise décision d’aller voir de suite il y a trois heures, les cerfs auraient pris la fuite et seraient partie je ne sais où, ce bois je ne l’aurais pas eu !

Moralité : 
La patience paye.

mercredi 5 avril 2017

Neige du 29 janvier 2017

En attendant la suite de la saison apicole 2017, quelques images de mes sorties nature.

Un moustique au ski 
La neige



Les sangliers et le cervidé