Matinée chanceuse

Une belle mare

Des indices d’un cerf

Premier coup de chance, dans une petite clairière en forêt.

Ça ne faisait pas longtemps qu’elle était tombée, le sang est encore rouge.

Il fallait absolument que je trouve la deuxième, et je savais à quoi elle ressemblait, vous aussi ?

Vous, vous rappelez de lui ici ?

Je me suis donc mis à sa recherche, après près de trois heures de recherche acharnées, je vois des pointes dépasser des feuilles mortes, la mue n’était pas très visible, j’avais eu de la chance de l’apercevoir d’ici.

Mais malheureusement, elle ne fait pas la paire avec la première.

C’était un beau 14 cors, à présent j’avais deux mues à trouver.

Encore une heure de recherche, et coup de bol au loin, des pointes dépassent derrière un petit tronc.

Fera-t-elle la paire avec l’une des deux ?

Et non, c’était encore une autre mue, une de l’année passé, et sans une égratignure.

Parfois c’est bizarre, cette forêt est ratissée de long et en large par les chercheurs de mues, chercheurs de champignons et de châtaignes, et pourtant on passe à côté de belles mues !    

Malheureusement, après plusieurs tentatives de trouver l’une des trois pour faire une paire, je m’étais résigné qu’elles étaient ramassées.