Le 17 juin 2016, la miellée
des acacias était terminée, même devant le trou de vol il n’y avait plus aucune
activité, il faisait également assez frais.
La récolte des cadres
remplis de miel a été rapide, avec les pluies incessantes pendant la miellée,
les abeilles n’ont pas eu beaucoup d’occasion pour butiner.
Les quantités récoltées
ont été équivalente à la récolte du miel de fleurs.
En cours de récupération
des cadres de miel, j’avais du interrompre l’opération à cause d’une averse.
Entre-temps, j’avais photographié
les pauvres récolteuses de pollen revenir épuisées.
Une abeille cherchant désespérément
une fleur d’acacia à butiner.
Le.retour avec la
remorque de miel a été folklorique, le terrain avait été totalement détrempé, qu’il
m’avait été impossible de remonter la petite côte.
Marche avant, arrière,
petite vitesse, rien à faire j’étais parti en portefeuille.
Sans mon treuil, j’aurai
du faire appel à un agriculteur et son tracteur agricole, agriculteur qu’il
aurait en fallu trouver au village qui se trouve à 3 km. D'où l’importance dans
cette activité d’être bien équipé, 4x4 et treuil.
Pour la récupération de
la remorque avec les ruches, en vu de la transhumance dans les châtaigniers, ce
n’était pas mieux, même pire puisque le poids du 4x4 plus le poids
remorque/ruches était bien plus lourd, j’avais même du rajouter câble de 20 m pour
chercher un grand noyer plus loin pour m’accrocher à lui.
Il a fallu être à 3
personnes, moi au volant, mon fils à la télécommande du treuil afin de vérifier
le bon enroulement du câble, et mon père à la surveillance des câbles et des manilles
de levage. J’avais aussi prévu mon deuxième petit 4x4 à la retraite pour me
dépanner au cas où le noyer ne suffisait pas.
Mais avec une bonne préparation,
le treuil avait suffit, au moins cette transhumance restera dans nos mémoires.
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