30 mai 2016, c’était sur
le chemin menant vers l’emplacement de transhumance des acacias.
Un couple de faisan gambadait
tranquillement sur le chemin.
Un petit coup d’accélérateur
pour les obliger à quitter la route, pas de combat de coq cette fois-ci.
Chemin recouvert de boue
suite aux pluies diluviennes de la veille, la terre des cultures avait recouvert
la route.
Même en 4x4, j’avais
failli rester embourbé, l’épaisseur atteignait par endroit 15 cm, une boue
collante comme du miel.
Les traces après mon
passage.
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