Le 14 mars 2016, j’avais fait une observation de mauvais augure
au rucher, j’avais découvert un mâle.
Ce qui en début de saison n’est pas normal, ce qui signifie que dans
le rucher, il y a une ruche orpheline ou une reine bourdonneuse. Dès les
premiers beaux jours, il faudra trouver cette ruche et intervenir rapidement,
et la sauvée d’une mort certaine.
Dimanche le 20 mars 2016, c’était le printemps, mais uniquement
sur le calendrier, puisqu’à l’extérieur la température n’avait pas dépassé les
14° et un vent glacial du nord, empêchant toutes ouvertures des ruches.
Les abeilles volaient un peu
Rapportaient tant bien que mal quelques pelotes de pollen
Mais dans le rucher il y avait 1 à 2° de plus et pas de vent, ce
qui m'a permis d’effectuer la première visite 2016 moins de deux minutes par
ruche, mais seulement sur un tiers du rucher, le temps était trop court pour
tous faire.
Pour l’instant, les ruches ouvertes sont plus que correctes,
elles sont très fortes rien à avoir avec 2015, elles ont même commencé à grignoter
les coussinets par manque de place.
Les premières cires gaufrées ont été introduites, entre 2 à 3
cadres par ruche, les provisions sont excédentaires, ce qui est assez étonnant
pour cet hiver doux, je m’attendais à une surconsommation, tant mieux.
Je n’avais pas trouvé la ruche bourdonneuse, mais une ruche fraichement
orpheline, les abeilles avaient élevé des cellules royales.
La température étant trop fraiche pour secouer les abeilles à l’extérieur,
j’ai donc laissé tel quel, mais supprimé les cellules royales.
Puis, comme j’avais hiverné 4 petits nucléus, et que leur
habitat sera bientôt trop petit, j’en ai pris un que j’ai mis dans la hausse.
La hausse a été séparée du corps de ruche par une feuille de
papier journal, ce qui permettra de réunir les deux colonies en douceur, et
dans huit jours, le nucléus sera rassemblé dans le corps de ruche pour former
une nouvelle colonie.
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